Comme vous le savez sans doute, je lis présentement "Mange, prie, aime" d'Élisabeth Gilbert (méga hit ces temps-ci surtout depuis que le film est sorti depuis peu au Québec), bref, aujoud'hui, je me prélassais au soleil en lisant la fin de son (l'auteure) périple en Italie et comme je me sentais un peu coupable de ma situation (pendant que tout mon monde travaille.... moi Christine Bouchard, je profite de la vie sans trop penser à mes obligations ou à mes responsabilités d'adulte..... je commence à angoisser...... lorsque je lis 5 min. plus tard, ce passage d'Élisabeth qui vient tout d'un coup, régler mon problème :)
" Mais est-ce si mal de vivre ainsi un petit moment? Est-ce si terrible de traverser le temps, l'espace de quelques mois à peine dans toute une vie, sans ambition plus haute que celle de trouver où s'atabler devant son prochain festin? Ou d'apprendre une langue étrangère uniquemenet parce que l'entendre est un ravissement pour l'ouïe? Ou de faire la sieste dans un jardin, dans un rai de soleil, en pleine journée, à côté de votre fontaine préférée? Et puis de recommencer le lendemain?"
Pas pire hein pour déculpabiliser???? :)
Moi, je dirais qu'il n'y a pas de mal à se faire du bien. À la condition que ce ne soit pas au détriment des autres...
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